[r]OC[k]TOGONE Episode 24

Bienvenue dans le [r]OC[k]TOGONE. Chaque semaine le trône d’une année du rock n’ roll est en jeu. Max et Stéphane choisissent chacun un poulain à défendre et ils s’affrontent dans le [r]OC[k]TOGONE : pas de règle, tous les coups sont permis, un seul gagnant et un seul perdant. L’album victorieux aura l’honneur d’intégrer le [r]OC[k]TOGONEHALL OF FAME où vous retrouverez le meilleur album rock de chaque année, de 1970 à 2020.

Cette semaine direction 1978 – une année riche en très grands albums – et comme toujours dans le [r]OC[k]TOGONE Max et Stéphane sont là où personne ne les attend : VAN HALEN de Van Halen pour le premier, PARALLEL LINES de Blondie pour le second. Deux usines à tubes, lancées à Mach 5 sur l’autoroute du gros son ! Alors on attache la ceinture, zone de fortes turbulences en approche, avec risque de chute de mauvaise foi.

À la fin de chaque épisode Max et Stéphane ajoutent une chanson de leur prétendant aux playlists Spotify et Deezer [r]OC[k]TOGONE pour faire du bien à vos oreilles.

https://open.spotify.com/playlist/22cDREEBBoikjjWWenxAy1

https://www.deezer.com/fr/playlist/7061323564

N’hésitez pas à nous dire dans les commentaires quel est, selon vous, le meilleur album rock de 1978.

Bonne écoute à toutes et à tous et faites du bruit !

3 réponses sur “[r]OC[k]TOGONE Episode 24”

  1. C’est un peu triste, mais Van Halen pour moi c’est un nom, un nom mythique, mais rien de plus. Quand on me fait écouter une chanson de Van Halen (en me précisant que c’est Van Halen), peu importe l’album, je fais « Ah mais oui, Van Halen! » et deux minutes plus tard j’ai déjà oublié la chanson.

    Tandis que Blondie est un groupe que j’aime beaucoup, que j’écoute beaucoup et Plastic Letters ainsi que Parallel Lines sont deux albums que j’ai énormément écouté (et que j’écoute toujours autant).

    Le vainqueur de cette année est à mes yeux le grand perdant de cet épisode.

  2. Spoileeeeeeeer, mec 😮
    Encore des disques que j’ai à (re)découvrir ! De Blondie je ne connais que les hits (oui, je sais, c’est mal) et Van Halen… mouais, un pote qui se mettait à la guitare avait dû me le prêter en cassette copiée vers 1992-93 mais j’ai dû la lui rendre assez vite parce que j’en n’ai pas retenu grand-chose en dehors du solo de taping Eruption et de la reprise des Kinks. Je ne crois pas par la suite avoir jamais écouté autre chose du groupe, le hard-rock de stade démonstratif c’était définitivement pas pour moi ^^

    Pour 1978, je vais pas faire mon intéressant à recommander un album de soul (surtout qu’en 78 les chanteurs soul avaient tous viré disco, alors non merci!) ni sortir un truc obscur du chapeau : ce sera le premier THE POLICE, « OUTLANDOS D’AMOUR », concis, tubesque, imparable de bout en bout. Et plutôt gros son pour du Sting :p

  3. 15 jours après… J’ai pris le temps de redécouvrir en streaming ces deux groupes que je connaissais finalement assez superficiellement … et verdict sans appel : OK Eddie VH est un gratteux techniquement révolutionnaire, mais son groupe, leur style, leur son c’est toujours aussi ringard et daté que ça l’était quand j’y avais jeté une oreille il y a 28 ans… L’album de Blondie, en revanche, a depuis intégré ma discothèque perso, en attendant de découvrir les autres ! Déso, Max 😉

    Le seul bon point que j’accorderais à Van Halen, c’est que je trouve leur single phare plus cool et plus punk que celui de Blondie (une reprise des Kinks vs un morceau disco, bon hein, pas si étonnant…)

    Je trouve dommage d’ailleurs que vous n’ayez pas évoqué ces deux singles sur lesquels il y avait à dire à mon avis car sans être aussi populaires que les hymnes de stade que sont « Jump » ou « Atomic », c’est quand même des titres hyper emblématiques des deux groupes.

    Pour « You Really Got Me », reprendre un hit classique de plus de 15 ans en hard rock, de nos jours tout le monde le fait mais, à l’époque, je ne pense pas que c’était si courant. Et pour lancer le groupe en touchant un large public sans se mettre à dos d’emblée les amateurs de hard rock, c’était un choix plutôt judicieux. En tout cas je dirais que ça a payé.

    Pour « Heart of Glass », cette incursion dans le disco leur a mis à dos une partie de leur fan-base mais leur a aussi ouvert un (très) large public. Fun fact : la version de 5’50 qu’on trouve sur la plupart des disques, CD, cassettes et sites de streaming n’est pas la version album originale ! C’est en fait le mix « club » du maxi-single 12″. Il semblerait que la version 12″ ait remplacé l’originale dès le deuxième pressage du disque suite au succès énorme du morceau, si bien qu’on ne trouve plus la version album originale que sur les tout premiers pressages vinyle et sur un tirage CD audiophile assez rare (le DCC Gold Disc en l’occurrence) Pour l’avoir écoutée malgré tout sans me ruiner (merci TuTubes) la première version album n’est pas si différente de la version 12″ mais elle est bien plus courte (3’50), avec un mixage des instruments un peu différent et il n’y a pas les reprises de synthé après chaque refrain (ou alors juste une fois) C’est donc plus « compact » mais ça reste du disco, pour l’essentiel. Plus intéressant pour le fan de rock un peu puriste : certaines rééditions CD comprennent en bonus « Once I Had a Love », une démo avancée qui sonne beaucoup plus funk/rock.
    https://www.youtube.com/watch?v=6kv4gWZ2hkg
    https://www.youtube.com/watch?v=1nTTn5PxRTE

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