[r]OC[k]TOGONE Episode 28

Bienvenue dans le [r]OC[k]TOGONE. Chaque semaine le trône d’une année du rock n’ roll est en jeu. Max et Stéphane choisissent chacun un poulain à défendre et ils s’affrontent dans le [r]OC[k]TOGONE : pas de règle, tous les coups sont permis, un seul gagnant et un seul perdant. L’album victorieux aura l’honneur d’intégrer le [r]OC[k]TOGONEHALL OF FAME où vous retrouverez le meilleur album rock de chaque année, de 1970 à 2020.

Cette semaine direction 1997, l’une des plus grandes années que le gros son ait connu ! Le [r]OC[k]TOGONE aurait littéralement pu ressembler à un Royal Rumble, mais comme ici, la règle c’est la règle, le choix de Max et Stéphane s’est porté sur (seulement) deux monstres du genre : OK COMPUTER de Radiohead face à THE COLOUR AND THE SHAPE des Foo Fighters (le groupe inspiré du Grohlcast, selon Stéphane). Vous avez voulu de la bagarre ? Vous allez en avoir !

À la fin de chaque épisode Max et Stéphane ajoutent une chanson de leur prétendant aux playlists Spotify et Deezer [r]OC[k]TOGONE pour faire du bien à vos oreilles.

https://open.spotify.com/playlist/22cDREEBBoikjjWWenxAy1

https://www.deezer.com/fr/playlist/7061323564

N’hésitez pas à nous dire dans les commentaires quel est, selon vous, le meilleur album rock de 1997.

Bonne écoute à toutes et à tous et faites du bruit !

2 réponses sur “[r]OC[k]TOGONE Episode 28”

  1. Je suis outré.

    Outré!

    Certes, 1997 a été une année très riche pour le rock, mais ne pas citer Earthling de David Bowie!

    Un album que j’ai énormément écouté et que j’écoute encore très très souvent.

    Enfin bon, 1997 a effectivement été une année chargée.

  2. Pour ma part, en 1997, j’estime qu’il faut absolument re-découvrir PRETTY UGLY des LUNACHICKS.
    « Yeaaaaaaah !Yeah !Yeah !Yeah ! »

    Et gros +1 pour Earthling, un album sous-estimé et un des plus gros son de la discographie de Bowie en plus !! Après le génial mais conceptuel et un peu prétentieux Outside, c’était un pur album de chansons rock, simple et direct, avec quelques sonorités drum’n’bass saupoudrées ici et là. Certains les ont jugées opportunistes à l’époque, sauf que tout le monde faisait ça à la fin des 90’s donc pourquoi le reprocher à Bowie en particulier ? Il était vraiment à son aise dans cet univers musical des musiques électroniques qu’il avait en plus contribué à influencer avec Low et Heroes. Donc qu’il les assimile, non seulement c’était pas surprenant mais c’était un des plus légitimes à le faire.

    Earthling, comme Outside et Hours (et même Black Tie/White Noise, son vrai retour après une traversée du désert, façon Jean-François Copé du rock) c’était du Bowie qui se nourrissait des musiques et des sonorités de l’époque (acid-jazz, indus, électro, indie-pop) et livrait ainsi une musique qui avait considérablement rajeuni son public, sans regard nostalgique vers le passé, quitte à perdre une partie de son public historique (et en effet ça ne plaisait pas aux fans vieux qu’il fasse « de la techno ») Même en concert, les vieux standard des 70’s étaient revampés à une sauce contemporaine. Et il ne jouait plus ses hits FM des 80’s que, de toute façon, on ne voulait plus entendre à cette époque! Car dans les années 90 il y avait un vrai post-traumatisme des années 80 pour les amateurs de rock qui avaient grandi dedans, sans doute difficile à faire comprendre aux plus jeunes qui aujourd’hui vénèrent cette décennie justement parce qu’ils ne l’ont pas vécue.
    Et puis sur scène, ce groupe de freaks, tout de même, avec surtout Reeves Gabrels, guitariste indus/hard rock à boa, qui a aujourd’hui intégré le line-up de The Cure et les rend plus excitants à écouter en live que durant leurs 30 dernières années (il s’y fait pourtant plus discret que chez Bowie mais sa touche est bien là sur le coffret des 40 ans)

    Pardon pour la tartine, j’adore le Bowie des années 90 ^^

Répondre à Lamèche Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *